hadrienvoisineo a écrit le vendredi 28 novembre à 18:25
Amide > que d'endroits à la description appétissante, penses-tu organiser un événement dans un de ces lieux ? ^^
FluteLEtoile > donc si je comprends bien, tu nous invites dans ton bar ? :p :)
fluteletoile a écrit le mardi 25 novembre à 16:57
Flute L'Etoile est aussi sympatique. Bon etant le proprietaire, j ene vais pas vous dire le contraire mais c'est un bar unique a PAris. J'en ait creer 2 a NEw YOrk deja et on essaye d'apporter cette experience le plus authentiquement a PAris. C'est au 19 rue de l'Etoile ds le XVII eme, nous avons des fabuleux cocktails aux champagne , entre autres. WWW.flutebar.fr. A bientot j'espere
armide a écrit le mardi 25 novembre à 16:43
Le Cent-Quatre
rue d'Aubervilliers à Paris, dans le XIX arrondissement
Il y a quelques années, en revenant d'une séance de "cinéma en plein air" au parc de la Vilette, j'avais emprunté cette rue d'Aubervilliers que j'avais trouvée triste et nue. Elle était flanquée d'un côté, de murs aveugles sur une grande partie de sa longueur; et de l'autre, d'anciens immeubles lépreux destinés à la démolition.
Aujourd'hui, j'ai traversé de nouveau ce quartier de Paris (que je ne connais que très mal) et ai atteint la rue Curial pour emprunter, à contre sens, la visite du nouveau centre culturel.
Ces deux bâtiments en enfilade qui datent de la fin du XIX je les ai reconnus ; mais ils ont subi une cure de jouvence.. Construits sous la direction de l'architecte Baltard (celui là même qui a édifié les abattoirs de la Vilette et les Halles de Paris), ils avaient pour vocation première d'abriter le Service Municipal des Pompes Funèbres de Paris.
Les activités peu réjouissantes qui s'y pratiquaient (concessions funéraires dans les cimetières, fabrication de cercueils, de tentures, va et viens de "porteurs" et de corbillards etc) n'engendraient pourtant pas trop la mélancolie. Un sentiment de solidarité unissaient les employés de l'"usine à deuil".
Le Service Municipal de Pompes Funèbres de Paris détenait le monopole absolu des étapes etprocessus successifs d'ensevelissement : tous ceux qui pour une raison ou une autre, avaient cessé de vivre quelque part, dans la capitale.devaient obligatoirement avoir recours à leurs services
En 1993, ce monopole a été supprimé et les locaux ont progressivement désaffectés.
En 1995, les bâtiments, menacés de destruction par les spéculations immobilières furent heureusement sauvés et destinés à héberger des rencontres sociales et artistiques.
J'ai visité aujourd'hui quelques ateliers. On m'a proposé un échange : faire don d'une vieille clé de mon trousseau contre "une clé du 104"
Le centre est prometteur. Les lieux fastueux permettent la libre déambulation. On nous promet notamment un café, une librairie, des rencontres ...
Voir mes photos
armide a écrit le mardi 25 novembre à 13:14
J'ai eu le privilège de faire partie d'un petit groupe admis à franchir la porte du 53, avenue des Terroirs de France.
à Bercy (XIIè arrondissement de Paris). En effet, ce lieu est devenu privé et n'ouvre ses portes qu'à des groupes d'une quinzaine de personnes de comités d'entreprises ou...d'amis.
Une fois admis, tout ou presque est permis : on déambule librement dans de vastes salles habités de stands de foire, baraques, orgues de barbarie ; nous sommes même montés à bord des manèges...toujours en parfait état de fonctionnement.
Je vous invite à regarder mes photos et joins un lien qui pourra être utile si vous voulez tenter votre chance
http://www.pavillons-de-bercy.com/index.php?p=contact
armide a écrit le mardi 25 novembre à 12:48
"Lou Pascalou", un bar animé rue des Panoyaux Paris 20è. Le décor vaut le détour, l'accueil est chaleureux. Orchestres le week end.
hadrienvoisineo a écrit le mardi 25 novembre à 12:28
Un bar Lounge avec une ambiance particulière, c'est une super idée pour sortir :)
matou46 a écrit le lundi 24 novembre à 22:38
Je fréquente un bar "mr Lounge" au 11,rue des halles.Ambiance très conviviale,patron sympa.on peut organiser des fêtes privées